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Au Sommet CEEAC, l’évolution de la signature d’Ali Bongo soulève des questions (Photo)

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Le sommet des chefs d’états de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) tenu à Libreville le 18 décembre dernier, était censé être le théâtre du retour gagnant d’Ali Bongo sur la scène internationale.

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Mais un petit couac du N°1 gabonnais a renforcé les doutes sur sa capacité à exercer au pourvoir suite à son AVC.

Selon le site info241, qui rapporte l’information, tout avait pourtant bien commencé. Dans une salle des fêtes du « Palais Rénovation » de la très royale présidence du Gabon se tenait “la IXeme session extraordinaire des chefs d’Etats et de gouvernements de la CEEAC“.

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L’architecte de cette grande messe est le ministre des Affaires étrangères du Gabon, qui s’est démené pour organiser ce sommet « pour le bien du Gabon  » et surtout pour celui d’Ali Bongo qu’on n’avait pas vu à une réunion de chefs d’Etat depuis le « Davos du Désert  ».

En appui, une nouvelle équipe de communication venue de Paris ayant ni plus ni moins l’impossible mission de redorer l’image d’Ali Bongo, précise la source.

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Pour la source, le sommet aurait pu être une parfaite réussite du point de vue communicationnel si et seulement si on n’avait pas demandé à Ali Bongo et à ses hôtes chefs d’états (Idriss Déby du Tchad, Faustin-Archange Touadéra de Centrafrique, Félix Tshisekedi de la RDC et Evaristo Carvalho de Sao Tomé-et-Principe) de signer séance tenante le communiqué final du sommet et surtout si on n’avait pas décidé de le publier tel quel avec les signatures des chefs d’états signataires.

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La signature contenue dans ce communiqué contrasterait fortement avec celles présentées comme étant les siennes depuis son AVC, indique la source.  Au Gabon, l’affaire suscite des remous et l’on pose des question sur le réel état de santé du président.